Qui suis-je ?
Je m’appelle Antoine, j’ai 27 ans.
Originaire de la région nantaise, je suis arrivé à Paris pour mes études. Après un BTS Audiovisuel et une licence réseaux et télécoms, j’ai trouvé ma place en tant que technicien de maintenance audiovisuelle.
Je travaille aujourd’hui pour différentes chaînes de télévision à Paris.
Un brin aventurier et bon bricoleur, j’aime me lancer de nouveaux défis, trouver mes limites et les repousser un peu. Ce voyage en fait partie.
Pour ce voyage, je pars seul, mais je compte partager régulièrement mon parcours et ma progression sur internet, afin de retrouver des gens en route, et éventuellement m’arrêter pour découvrir le pays autrement qu’à vélo. Ou pourquoi pas, partager pendant quelques jours la route avec d’autres cyclotouristes si l’occasion se présente.
Quoi ?
L’idée est de partir pour un tour du monde. Parcourir pendant deux ans différents continents à la rencontre des gens, de leur pays et leur culture. Partir sans préjugés et me faire ma propre idée.
L’itinéraire est tracé de façon indicative, je sais pas expérience qu’il évoluera au fil des rencontres.
Pourquoi ?
Parce que quand on y a goûté, on ne peut plus s’en passer. Je sais que le voyage est une expérience unique, humaine et très enrichissante. Le bonheur de rencontrer des gens, de partager une minute, une journée ou une semaine avec eux, est assez difficile à décrire.
Quand ?
Mon départ est prévu pour début avril 2014. La date de retour, elle, reste inconnue. Elle dépendra des aléas du voyage, des envies et des rencontres faites en route.
Où ?
Je commence par une traversée du continent eurasiatique, d’ouest en est, puis une descente en Océanie pour finalement terminer en Nouvelle-Zélande.
Ensuite, je compte relier l’Alaska à la Patagonie, en traversant les continents nord et sud américain.
Comment ?
À vélo. Après mon voyage en Amérique Latine, j’ai la certitude que c’est le moyen de transport idéal pour mon voyage. Il est à la fois écologique et économique, tout en restant assez rapide pour envisager de traverser des pays entiers et assez lent pour pouvoir profiter du paysage au passage. C’est aussi un moyen de transport qui invite aux rencontres. Je repars donc sur le même type de vélo que mon précédent grand voyage, un vélo couché.